Fortuné PELLICANO blog Brest

Archives

  • juillet 2007
  • juin 2007
  • mai 2007
  • avril 2007
  • mars 2007
  • février 2007
  • janvier 2007
  • décembre 2006
  • novembre 2006

Catégories

  • Humeur et actualité (20)
  • Interventions Conseil de la Communauté Urbaine de Brest (6)
  • Interventions Conseil Municipal de la ville de Brest (2)
  • Interventions presse (11)
  • Portrait de Fortuné PELLICANO (1)
See More
Abonnez-vous à ce blog (XML)

Site Internet

  • UMP Site National
  • UMP29 Brest2

Article et photo parus dans Ouest France, édition de Brest, lundi 9 juillet.

« Faire un programme trop tardivement pose un vrai problème de lisibilité, de crédibilité, d'efficacité. C'est pour cela que dès le 19 juin, j'ai fait une proposition claire : que celles et ceux qui veulent s'engager pour les municipales au sein de l'UMP le disent vite et exposent les grandes lignes de leur programme. »

« Il faut se mettre en ordre de marche très vite »

Les militants brestois de l'UMP ne désigneront pas leur chef de file pour les municipales avant l'été. Fortuné Pellicano le regrette. Pour lui, le programme devra, alors, être calé cet automne.

Vous rentrez tout juste du conseil national de l'UMP. Il s'est tenu, samedi, à Paris. Y a-t-on parlé des municipales ?

C'était une réunion importante pour changer nos statuts. Avant, l'UMP avait un président, Nicolas Sarkozy. Désormais, le parti est dirigé collégialement, avec Patrick Devedjian comme secrétaire général, associé à deux secrétaires généraux adjoints. Jean-Claude Gaudin, Pierre Méhaignerie et Jean-Pierre Raffarin auront un rôle important à jouer également. Quant à Nicolas Sarkozy, il reste le président moral. Non, il n'a pas été question des municipales à ce conseil national.

                                 

Les statuts n'ont donc pas été changés pour permettre aux militants de désigner, eux-mêmes, leur candidat aux municipales. Une procédure que vous appeliez pourtant de vos voeux, lors de la présentation de votre candidature le 19 juin.

Je suis quelqu'un de légaliste. Il y a des règles régissant ma famille politique. Je les accepte et les applique. Ces statuts ne prévoient pas d'investiture donnée par les militants. Dont acte. J'espère, toutefois, qu'on fera évoluer ces textes un jour.

Mon idée, que j'ai formulée le 19 juin, était d'inciter les militants à donner une indication à la commission nationale d'investiture de l'UMP, instance qui désignera les candidats aux municipales. La consultation des Brestois, que je réclamais avant l'été, ne se fera pas. Cette proposition a, toutefois, été bien accueillie à la base. Pas par quelques élus, effectivement.

                              

Ces derniers - Benoît de Cadenet, Claudine Péron, Jean-Pierre Rieux (Ouest-France du 28 juin) - souhaitent qu'un programme soit d'abord établi, avant de désigner la tête de liste. Qu'en pensez-vous ?

Nous sortons de 18 ans d'opposition. Depuis 1989, nous avons perdu deux élections municipales. Nous avions, pourtant, deux excellentes têtes de liste : Bertrand Cousin en 1995 et Yannick Marzin en 2001. À chaque fois, nos équipes ont été composées très tardivement. Quinze jours avant, en 1995. En 2001, de nombreux colistiers avaient claqué la porte quatre ou cinq semaines avant le premier tour. La gauche, de son côté, était en route depuis déjà six mois. Veut-on encore vivre cela ?

Faire un programme trop tardivement pose un vrai problème de lisibilité, de crédibilité, d'efficacité. C'est pour cela que dès le 19 juin, j'ai fait une proposition claire. Que celles et ceux qui veulent s'engager pour les municipales au sein de l'UMP le disent vite et exposent les grandes lignes de leur programme. À partir de cela, nous aurons une base de travail. Il faut se mettre en marche assez tôt.

C'est-à-dire ?

Il faut que pour l'automne, ou la fin de cette année au plus tard, ce programme soit calé. Il devra être élaboré collectivement. Nous serons, alors, suffisamment en avance pour expliquer nos propositions à la population. J'estime être capable de rassembler ma famille politique, de faire l'union. Je suis quelqu'un d'assidu, de présent, d'actif et de réactif pour répondre au programme des socialistes.

                        

Propos recueillis par Yves-Marie ROBIN.

repris avec l'aimable autorisation de Ouest-France

Les autres titres

Rédigé à 20:59 dans Interventions presse | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Pour que vive le Tournoi des As

jeudi 5 juillet.

         

Il est de notoriété publique qu'un conflit oppose le Maire de Brest d'une part, et les organisateurs du tournoi des As d'autre part.

            

Cette épreuve, réunissant depuis 20 ans à Brest, les meilleures équipes européennes de basket-ball, est confrontée à des difficultés d'organisation à la suite de nouvelles obligations imposées par la Ville.

            

Il est impensable de voir la collectivité s'ingérer dans une manifestation sportive organisée par une association ayant fait preuve de sérieux et de bonne gestion des subventions publiques.

             

Au-delà des problèmes pouvant exister entre les organisateurs du Tournoi des As et l'équipe de l'Etendard de Brest quant à la participation du club local à ce rendez-vous sportif, il n'appartient pas à la collectivité de prendre part à un conflit de ce type. Bien au contraire, la Ville doit faire preuve de sagesse en ne s'immisçant pas dans ce qui apparaît comme un problème d'ordre sportif.

                

Selon nous, il faut qu'elle s'en tienne à plus de réserves. Mais au lieu d'accompagner des initiatives privées qui sans moyens financiers publics excessifs donnent une belle image de notre citée, le Maire de Brest met en péril l'organisation d'un évènement sportif majeur pour notre agglomération.

                  

Alors que les considérations et arguments avancés par la Ville nous apparaissent comme injustifiés, nous demandons à François Cuillandre de ne pas abandonner notre partenariat avec le Tournoi des As, épreuve inscrite dans le calendrier international et passage obligé des grands clubs européens.

Rédigé à 20:56 dans Interventions presse | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Le site de Brest retenu pour les FREMM

Vendredi 29 juin.

Conseil de Communauté Urbaine.

                  

Monsieur le Président, Chers collègues,

               

Avant d'aborder un ordre du jour copieux, ce début de séance me donne l'occasion d'évoquer des sujets d'actualité.

            

Il y a quelques jours, un montage industriel a été présenté par DCNS sur le programme "Frégates Multi Missions", plus communément appelé FREMM . Cette nouvelle organisation répond aux inquiétudes que nous avions sur la réalisation d'une partie du dit programme à Brest.

                

Cette annonce est plutôt positive pour notre bassin d'emploi. C'est un grand motif de satisfaction de voir DCNS s'engager à construire une partie des blocs dans notre ville.

                              

Même si Lorient est confirmé comme site principal pour ce programme, c'est une décision importante pour notre agglomération, car l'engagement pris représente plus de 150 emplois, sous-traitance comprise.             

Cette bonne nouvelle est le fruit d'un engagement collectif. Quand il s'agit de défendre l'emploi sur le Pays de Brest et la qualité du savoir-faire local, toutes les initiatives et tous les soutiens sont bons à prendre, qu'ils soient syndicaux, économiques mais aussi politiques. Il convient de rester vigilant et de ne pas relâcher nos efforts sur ce travail de lobbying. 

                            

Voilà ce que je souhaitais dire, car ne nous y trompons pas, rien n'est définitivement acquis pour nous dans ce programme FREMM. Alors restons mobilisés.

Rédigé à 20:48 dans Interventions Conseil de la Communauté Urbaine de Brest | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

La Carène : flop au démarrage

Vendredi 29 juin.

         

A la suite d'une enquête très intéressante réalisée par Le Télégramme en avril, et parue le jour où se tenait le dernier Conseil de Communauté, nous avions eu l'occasion de débattre des difficultés rencontrées par la Carène.

         

En réponse à ma demande, Monsieur le Président, vous vous étiez engagé à réunir le Conseil d'Administration pour aborder les questions de fond que tout le monde se pose après les débuts difficiles, pour ne pas dire ratés, de la SMAC. 

                        

Cette réunion prévue le 5 juillet prochain doit donner l'opportunité à toute l'équipe d'exprimer, par la voix de son directeur, sa position, ses propositions et pourquoi pas les remèdes aux problèmes de gestion et de programation rencontrés par un équipement dans lequel la collectivité a investi environ 11 millions d'euros.

               

Tout allait donc se faire normalement jusqu'à ce que j'apprenne en avant-première, comme tous ceux qui ont lu Ouest France mercredi dernier, ce que Monsieur le Directeur avait l'intention de dire aux membres du Conseil d'Administration. 

                            

Cette façon de faire est d'autant plus inacceptable que le Directeur se permet de porter un jugement sur les propos tenus par quelques-uns d'ntre nous, il y a tout juste 2 mois, dans cette enceinte.

                              

En octobre dernier, la maladresse du Directeur dans ses prises de positions publiques montrait déjà que les difficultés de gestion de l'équipement n'allaient pas manquer.         

                  

A ces difficultés, se sont ajoutés des tas de problèmes : salles vides sauf à quelques rares exceptions près, manque de réactivité face aux demandes des organisateurs, difficultés pour les musiciens à déplacer leur matériel, etc...   

                   

Ce n'est un secret pour personne, nous n'avons jamais été convaincu dans l'opposition par l'implantation de cet équipement là où il se trouve ajourd'hui. Et je n'ai jamais caché que son coût était très élevé pour ce que l'on comptait en faire. En effet, ce lieu de création venait trop tard et cet espace de diffusion n'éatit pas du tout adapté aux besoins d'une majorité de producteurs de spectacles. 

                   

Mais aujourd'hui, l'équipement est là et il faut le gérer. Il y aura des décisions difficiles à prendre, le Conseil d'Administration les prendra, car c'est à lui de le prendre. Et à lui seul ! Pas au directeur qui, en jugeant les propos échangés îci même par les élus, sort du devoir de réserve que lui impose sa fonction.

Rédigé à 20:32 dans Interventions Conseil de la Communauté Urbaine de Brest | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Compte administratif 2006 - Communauté Urbaine de Brest

Vendredi 29 juin.

      

Monsieur le Président,

      

L’examen de votre compte administratif 2006 montre une fois de plus que votre façon de gérer la Communauté Urbaine de Brest n’a pas beaucoup évolué depuis le début de votre mandat.

               

En résumé, vous manquez de détermination dans la maîtrise des dépenses et vous jouez petit-bras lorsqu’il s’agit d’engager des investissements utiles afin de faire de notre agglomération la grande métropole de l’ouest Bretagne. Vous avez naturellement compris que je considère pas votre projet de tramway, du fait de son tracé et de son mode de financement, comme l'un de ces investissements utiles.

      

Au-delà des mots, arrêtons-nous un moment sur les chiffres présentés dans les documents qui servent de base au débat d’aujourd’hui. En effet, si l’on devait s’en tenir uniquement à tous les montants, pourcentages, taux et ratios qui nous ont été communiqués, nous serions presque tentés de croire que tout est parfait dans l’exécution de votre budget 2006.

      

Mais, car il y a un mais, la lecture peut être différente selon que l’on adopte telle ou telle présentation. Pour en être convaincu, il suffit de prendre 1 ou 2 exemples dans chacune des 2 sections qui forment le compte administratif, soit le fonctionnement et l'investissement.

      

Tout d’abord, un exemple dans la section fonctionnement. Les dépenses réelles y figurent à hauteur de 162,9 ME, soit selon ce qui démontré, une progression de 2,95 % par rapport à 2005. Je ne vais pas jouer le ronchon de service. Je ne l’ai jamais fait et n’ai pas envie de commencer aujourd’hui, à quelques mois des élections municipales, d’autres que moi ayant ici et depuis quelques années déjà, ce talent que je n’ai pas et que je n’ai pas envie d’avoir.

    

Simplement, si en 2006, on utilise le même mode de calcul des dépenses réelles de fonctionnement que celui pratiqué en 2005, il apparaît que l’augmentation des dites dépenses pourrait être beaucoup plus significative.

    

Autant le dire tout de suite, je ne mets aucunement en doute la sincérité des écritures comptables présentées. Pour suivre les dossiers financiers depuis quelques années, je sais que l’inscription des participations dans les ZAC en section d’investissement respecte scrupuleusement les nouvelles dispositions prévues par la M14 depuis 2006.

    

Mais il faut aussi comparer ce qui est comparable. Pour y parvenir, comme cela a été fait en 2005, nous pourrions affecter de manière imaginaire les participations ZAC de 2006 dans la rubrique charges exceptionnelles, soit un montant de 3,177 ME.

   

Cette hypothèse de travail à périmètre comptable constant, permet de mieux mesurer la variation de ces charges exceptionnelles d’abord, mais aussi d’évaluer avec plus de précisions l’ensemble des dépenses de fonctionnement ensuite. Ainsi, on s’aperçoit que l’augmentation des frais réels de fonctionnement est en réalité de 4,96%. Au lieu de 2,95%. Ce n’est quand même pas rien.

            

Et là, on ne parle plus de la même chose. Avec cette progression là, il y a de quoi s’interroger sur votre volonté à maîtriser les charges de fonctionnement de notre collectivité qui, à l’évidence, est devenu au fil des ans un véritable mastodonte au train de vie de plus en plus incontrôlable.

      

Très rapidement, je ne vais pas résister au plaisir de mettre en évidence une subtilité de gestion, tout à fait légale bien entendu mais qui a évité une augmentation encore plus importante des charges de fonctionnement. C’est un fait, il n’y a plus de loyers payés pour l’acquisition des bus en crédit-bail. Et rien ne vous interdit techniquement de mettre un terme à ces charges de fonctionnement en rachetant ces mêmes bus. Ce rachat pour 4,4 ME se trouve désormais tout à fait naturellement en section investissement.

      

Mais les entreprises taxées seront contentes d’apprendre que le produit supplémentaire réalisé avec l’augmentation du Versement Transport, soit 9,3 ME de recettes en plus générées avec un taux passé de1,05 % à 1,65% depuis le 1er janvier 2006, n’est affecté que très, très légèrement au financement du programme tramway : 1,5 ME simplement pour le tram, et tout le reste, soit près de 8 ME pour racheter des bus et rembourser des emprunts par anticipation.

         

Entre nous, pourquoi avoir augmenté le Versement Transport de 0,60% alors qu'il n'y avait rien d'urgent à financer ? Vous auriez quand même pu attendre encore un petit peu avant de le faire. Pour se développer, les entreprises concernées et taxées ont certainement plus besoin de cet argent-là que notre collectivité.

    

On entend trop souvent sur les bancs de votre majorité que les charges de fonctionnement ne peuvent pas être maîtrisées, sinon les services rendus à la population en pâtiraient. Permettez-moi de penser qu’il y a quelques moyens d’alléger les dépenses.

         

En disant cela, je ne pense pas aux charges de personnels, tout le monde sachant qu’avec les augmentations légales, et à condition de stabiliser les effectifs, on a très peu de marge de manœuvre sur ce poste.

          

C’est pourquoi, pour illustrer mon propos, je vous incite à vous pencher sur les seules charges de gestion courante. Celles-ci, avec 56 ME en 2006, représentent le 2ème plus gros poste de dépenses réelles de fonctionnement.

             

Sur ces 56 ME, il y a en pour 46 ME en subventions. Notamment les subventions pour équipements affermés, et les contributions, domaines dans lesquels nous avons des possibilités d’arbitrage. Et ne venez pas me dire que resserrer les boulons dans nos relations financières avec certains de nos partenaires, est impossible à faire. Dans le cadre d’un vrai partenariat, tout est possible et surtout la négociation !

                  

Reconsidérer ne serait-ce que 10 % de ces subventions et contributions aurait pu nous permettre de ne pas faire appel à la fiscalité, qui rien qu’avec votre augmentation des taux ménages et TEOM, nous rapporté environ 4 ME en 2006 ! Pour boucler son budget, notre collectivité aurait pu se contenter des recettes issues de l’augmentation des bases et de l’assiette taxable. Les contribuables auraient apprécié.

            

Et ne venez pas me dire qu’avec ce raisonnement, je souhaite reconsidérer ou diminuer notre participation au SDIS, au pôle de compétitivité où dans d’autres structures utiles pour affirmer notre vocation métropolitaine ! Je ne pense pas à ces partenaires là, il y en a d’autres et tout le monde ici en connaît.

                                           

Arrêtons-nous un instant sur les investissements. Par rapport aux objectifs et engagements fixés dans le BP, est-ce que le taux de réalisation est bon ?

                   

Si l’on s’en tient uniquement au pourcentage donné dans les documents du CA 2006, la réponse est bien évidemment oui. Imaginez-vous 63% de réalisation. Comparé aux 53,5% de 2005, « pourcentage qui n’était pas génial » comme Alain Masson, votre vice-président chargé des Finances, l’avait souligné en son temps, le taux de réalisation de 2006 est nettement meilleur.

         

Mais tout est relatif. En effet, tout le monde sait ici que plus un taux de réalisation des investissements programmés est faible sur une année N, plus il sera amélioré l’année suivante. Tout cela est mécanique.

                   

Nous serons toujours satisfaits de voir un bon taux de réalisation, mais nous préférons que celui soit calculé avec un minimum de reports d'une année sur l'autre, et surtout avec une vigilance sur les surcoûts qui sont de plus en plus fréquents.

                     

Je dis cela tranquillement car avec la Carène, nous avons dépassé le coût prévu initialement. Il suffit de se pencher d'abord sur les prévisions de la Programmation Pluri-anuelle des Investissements, ensuite sur les montants inscrits au BP, et enfin aux sommes correspondant aux programmes réalisés et inscrites dans ce Compte Administratif 2006.

             

L'an passé, nous avons payé 5,5 ME alors que l’inscription au Budget Primitif était de 3 Millions. Et les prévisions PPI étaient seulement de 2 ME. Au bout de la ligne, et sur une période de moins de 3 ans, nous avons dû supporter 2,5 ME de supplément. Ce n’est pas rien. Et je n’évoque même pas les coûts de fonctionnements induits qui ont explosé.

                            

Il y a aussi l’exemple du Port du Château. Vous venez de l'évoquer, nous sommes malheureusement confrontés à des problèmes de pollution qui auraient pu être anticipés s’il avait été tenu compte des résultats des études préalables. 

                        

Juste avant de conclure, je souhaiterais évoquer les hypothèses en investissement que vous nous avez présentées en commission : enveloppe se situant entre 50 et 55 ME par an jusqu’en 2009, et 50 ME de possibles investissements annuels pour la période 2010 - 2013.

         

Cette présentation, réalisée sans tenir compte du futur Grand Stade, de la Salle de Spectacles Sportifs mais aussi du Zénith, réalisations que nous appelons de nos voeux, montre bien que les marges de manœuvre en investissement seront de plus en plus faibles en dehors de ces 3 grands équipements que nous soutenons.

             

Mais à ce rythme là, nous savons aussi que les dépenses de fonctionnement auront un poids de plus en plus important dans le budget. Ne serait-ce que par les dépenses pour le fonctionnement des équipements en question.

       

Alors, pour que cela ne devienne pas fatal à nos finances et que nos concitoyens ne paient l’addition, vous vous devez de revoir vos ambitions sur un investissement dont personne ne veut. Je veux bien entendu parler de votre projet de tramway.

                           

En 2006, votre opposition n’avait pas voté votre Budget Primitif et les diverses Décisions Modificatives. Vous comprendrez qu’aujourd'hui, au nom de mes collègues, je vous indique que nous ne voterons pas ce compte administratif.

                                                                                                                                            

Rédigé à 20:09 dans Interventions Conseil de la Communauté Urbaine de Brest | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)

Suivante »